Un talent à l’état pur et une liberté de pensée qu’il aura revendiqué depuis ses débuts aux côtés de Tonio et des tonitruants « KalaShnikov ». Comme une odeur de souffre, il marque, à coup de pompe, cette grande période du rock des années 80.
Il cultivait un gout raffiné pour les bonnes choses de la table, comme celui de la scène, pas de grandiloquence mais de l’authentique !
Assister a un live de Dominic c’était comme rentrer dans une bulle énergique de gentillesse et de simplicité partagées.
Il était de ceux qui savent garder l’honnêteté de leur art, attaché au réel de nos vies, dans la beauté poétique la plus vive, qui définissait ainsi la force de ses chansons.
Il y avait tout cela dans cet homme-là.
Il marque à jamais les petits fans de musique que nous sommes.
De là-haut trinque avec nos chers disparus et salue de notre part madame Devidal 🖤
Souvenir du dernier live au Le bistro de la cité où il avait joué
avec Daniel Paboeuf et Romain Baousson
Sad thursday Rip Dominic
Stef’Azak