GRAND HALL- l’Album « La lumière décline »

Voici la sortie de l’EP de GRAND HALL « La lumière décline ». Depuis ce vendredi 4 mars 2022, il est disponible sur les plateformes digitales ainsi qu’en vinyle avec 2 bonus tracks… Tout est là pour retrouver la belle sincérité artisanale, de l’un de nos coups de cœur du mois dernier. Pour que la lumière puisse revenir habiller quelques instants de ces jours si sombres.

Dans les cuisines avec les artisans

GRAND HALL a privilégié un son authentique autour d’une table de mixage de 1969, du matériel vintage et un jeu en live.

Trois titres ont été enregistrés avec Pamela Hute au Studio du Maine Noir et les trois autres titres ont été captés et travaillés avec Etienne Clauzel au Studio Black Box à Noyant La Gravoyère en février 2021.

Le tout a été mixé et masterisé à Bruxelles par Paul-Edouard Laurendeau et Remy Lebbos.

Vous connaissez maintenant les compagnons du son, revenons donc aux titres de cet album, avec un petit tour, en quelques intentions, pour vous donner l’envie de vous y plonger.

Chapitres et chansons

« Addiction » Ce titre sonne comme une confession d’amoureux sous influence. La réalité dépeinte est par nature sincère et fiévreuse, on ne pouvait pas faire plus juste.

S’en vient ensuite « Eclipse » . Quand une ville symbole de beauté orientale et martyre, devient le point d’origine et souvenir d’un moment d’amour. Le piano se fait tapi volant et donne à cette chanson une dimension bleue de nuit, à jamais marquée d’un amour étincelant.

Les paroles de la chanson “Éclipse” :
C’était une nuit d’été noire
Sans lune ni lumière
T’étais belle comme le jour, lumineuse
Tes yeux gris bleus, tes cheveux noirs
Sous les pins d’Alep
Franchir le pas de la villa

Tes yeux se ferment sur moi
Mes yeux se ferment sur toi
Te souviens-tu de cette éclipse

Debout là dans le parc
De la villa du lac
Un homme sorti de l’ombre, une larme à l’œil
Tes yeux gris bleus, tes cheveux noirs
Sous les pins d’Alep
Le coup est parti fort dans la nuit bleue

Tes yeux se ferment sur moi
Mes yeux se ferment sur toi
Te souviens-tu de cette éclipse

Tu étais dans mes bras
Devant la villa du lac
Tu me souriais, moi désarmé
Tes yeux gris bleus, tes cheveux noirs
Sous les pins d’Alep
Un vent d’été soufflait sur nous

Tes yeux se ferment sur moi
Mes yeux se ferment sur toi
Te souviens-tu de cette éclipse

Te souviens-tu de cette éclipse

« La promesse de l’Aube » est une balade qui se fait confidence, comme une discussion nocturne sur le sens que l’on donne à ce que l’on vit et a ce qui nous entoure.

L’amour réciproque, est le rempart au désespoir de ne jamais pouvoir relever les défis qui se dressent face à nous.

« La lumière décline » Cela doit arriver de toute façon, il y a des jours et donc aussi des nuits. Ces dernières sont prétextes aux rapprochements physiques et tendres. Le soleil se lèvera et la tendresse ordinaire reprendra sa place au jour venant.

La piste, « Sous les toits » est posée, ensuite, là feutrée et confidentielle au milieu du silence. A ces heures où résonnent les chuchotements et grincements, qu’ils soient réconfortants où mystérieux, le plus petit d’entre eux, interroge et interpelle nos imaginaires.

Pour fermer la marche, voici la chanson « Ta Vénus ». C’est un road trip vers l’amour en dévotion. La sensualité des ombres qui se frôlent et ordonnent aux corps de s’enflammer en une fusion unique et intense.

En résumé, cet Ep de GRAND HALL, « La lumière décline », est un acte d’amour en rimes et musiques. Il vous reste maintenant à prendre part à cette belle et authentique sensualité.

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Guillaume d’Arsène

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