SON LUX “Come Recover (Shelter)”

SON LUX dévoile  “Come Recover (Shelter)”.
Le titre apparaissait initialement sur l’album-trilogie du trio experimental (Tomorrows, City Slang) puis ré-imaginé pour le final du film dont ils ont composé la musique, Everything Everywhere All at Once (sur les écrans français depuis le 31 aout), ce morceau existe maintenant dans une nouvelle version, une performance solo délicate de Ryann Lott sur un instrument virtuel de sa propre fabrication, semblable à un piano.
Rafiq Bhatia, Ian Chang et Ryan Lott seront de retour en France en mars 2023 pour 4 concerts avec Holland Andrews en première partie :

le 16 mars à l’Aéronef, LILLE (infos)
le 17 mars au Trianon, PARIS (infos)
le 18 mars à Stéréolux, NANTES (infos)
et le 19 mars au Ninkasi Kao, LYON (infos)

“Come Recover” figurait à origine sur l’album trilogie Tomorrows, du trio expérimental Son Lux, et a ensuite été réimaginé comme bouquet final de la bande originale du Chef-d’œuvre multivers Everything Everywhere All at Once.
Aujourd’hui, le titre existe dans une autre réalité alternative sous le nom de “Come Recover (Shelter)”, une interprétation scintillante et délicate et en solo du fondateur de Son Lux, Ryan Lott. Sur un instrument virtuel, de sa propre fabrication, semblable à un piano, Lott construit une matrice de lignes entrelacées et tentaculaires. En filigrane apparait, une mélodie lumineuse et lente qui surgit et descend en cascade en
alternance avec sa voix. Alors que la version du film était triomphante et propulsive, cette dernière bouture de la chanson est une mise à nu vulnérable et lente.

Depuis le départ, Son Lux a fonctionné comme une sorte de laboratoire sonore. Le groupe s’efforce de remettre en question des hypothèses profondément ancrées sur la façon dont la musique est faite, et de la reconstruire à un niveau moléculaire. Même si Son Lux considère l’exploration musicale comme une pratique fondamentale, le groupe n’avais jamais expérimenté avec le format. Tomorrows s’est libéré des restrictions de l’album traditionnel, marquant un changement notable de style par rapport aux albums précédents.
Alors que les précédents albums de Son Lux débordaient d’idées, le format en trois volumes de Tomorrows offrait à la musique un espace pour respirer et se développer. Chaque album dévoile des morceaux filés avec des espaces instrumentaux liminaux, contribuant à un flux plus naturel tout en laissant le son transmettre la complexité et de la tension de l’histoire.*

*source communiqué de presse
crédit photo : Jes Nijjer