Jeudi 13 mars, Friedberg a une nouvelle fois prouvé son irrésistible magnétisme scénique. Dès les premières notes, l’Antipode s’est transformé en un véritable tourbillon d’énergie, porté par la frappe métronomique des rythmes hypnotiques du combo. Anna, en parfaite frontwoman est encore plus charismatique et solaire qu’en décembre (surement aussi bien moins sur les starting-block qu’au trans), soutenue par son excellent trio rythmique féminin, elles oscillent avec habilité entre tensions post-punk et pop-rock lumineux.
Le public rennais, déjà conquis depuis leur passage aux Trans Musicales, a répondu à présent une nouvelle fois, dansant et scandant les refrains entêtants de « Midi 8 » à « Pass Me On ». Une belle vague d’adrénaline groovy, fulgurances rock, où l’atmosphère forcément attentive du début de set est rapidement devenue survoltée.
Friedberg, véritable groupe de scène, possède cette capacité remarquable de nous mettre dans une irrésistible transe collective. Une claque électrique, solaire et irrésistible.





















