Kétamine. Cocaïne. Heroïne. Shit. Shoot. Beuh. Meth. Herbe. Crystal. Crack. Pipe à eau.
De la conception de cette suite dispensable à l’élaboration d’un arc narratif risible, de la naissance de « scènes-clefs » mollassonnes au casting hallucinogène, de la fabrique d’effets spéciaux antédiluviens aux dialogues dignes d’une pochade de Max Pécas, des mimiques comiques du gorille géant aux fonds bleus visibles, de l’extraction d’une dent au copinage surréaliste entre kaïjus, tout semble avoir été concocté sous l’emprise de substances illicites.
Ok, c’est fun, bien bourrin et spectaculaire à souhait mais que s’est-il passé dans les studios de la Warner ?
La drogue.
Je ne vois, hélas, pas d’autre explication à ce film vraiment « Kong ».
John Book.