Rendez vous avec le Dandy aux faux air de Bashung et de Gainsbourg, Bertrand Belin Nous l’avons déjà vue plusieurs fois et dernièrement, au festival Mythos ou en format solo à la Maison de la Poésie de Paris pour la soirée de lancement de nos amis de la revue Persona ! Mais ce soir tout commence dans le cadre théâtral du centre culturel Jacques Duhamel à Vitré.
Depuis les gradins la vue plongeante sur la scène nous offre un point de vue inhabituel, surtout pour nous qui sommes des mordues du premier rang . Toujours cette classe qui n’est pas uniquement vestimentaire, mais dans la gestuelle et cette façon d’appréhender la scène par de grands mouvements et des mimiques qui finalement, rend relativement théâtral, son jeu. Ce qui n’est pas pour nous déplaire, puisqu’il le fait avec style. Dans cette pertinence poétique proche du loufoque, où il reste souvent obscur, Bertrand Belin excel entre rock, folk et blues ! Cet espace, qui le temps d’un concert devient son lieu d’expression privilégié, il le partage bien sur avec ces musiciens diablement efficace, basse, batterie, clavier. Il ne s’agit pas pour autant d’un show de lui par lui, même s’il en est à l’évidence le principal protagoniste, la puissance vibratoire passe aussi par le dialogue qui s’exerce grâce a l’excellence de la musique !
@Bertrand Belin @Annick Fidji @Bertrand Belin @Annick Fidji @Bertrand Belin @Annick Fidji @Bertrand Belin @Annick Fidji @Bertrand Belin @Annick Fidji
@Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux @Bertrand Belin @Stéphane Perraux
Photos : @Annick Fidji et @Stéphane Perraux
Bertrand Belin samedi 30 novembre 2019, centre culturel Jacques Duhamel à Vitré.
Stef’Arzak